
Sans aller jusqu’à décrire Luigi Cozzi comme l’âme damnée de Dario Argento, difficile de fermer les yeux sur son statut d’ombre du virtuose de l’épouvante italienne, de domestique sacrifiant son existence tout entière à la juste cause de l’art de son maître, auquel il dédie boutique, livres et même le présent film. Méfiez-vous donc du titre Edgar Allan Poe’s Black Cat (1989), qui ne trouve justification que dans trois ou quatre gros plans sur des chats fâchés, car le petit bonhomme derrière Contamination ne marche pas dans les pas du poète, mais dans ceux de l’auteur de Suspiria. Sans laisser de grands souvenirs…
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