
Les temps ont changé, et certainement pas à l’avantage de Dario Argento. En 82, il aurait été annoncé que le petit prodige du suspense transalpin s’en allaient s’installer dans le castel de Vlad Tepes, que tous les fantasticophiles de la planète se seraient lancés dans une gigantesque ola. Mais en 2012, la donne n’est plus du tout la même, et c’était désormais avec méfiance, voire dégoût, que l’on acceptait de voir un réalisateur à l’art très diminué s’attaquer à Dracula 3D. A raison, car le résultat parvient à être aussi risible qu’ennuyeux.
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