
Grand seigneur du fantastique rital, auquel il offrit quelques droites briseuses de mâchoire (Danse Macabre, Pulsions Cannibales, La Sorcière Sanglante) mais aussi de trop douces tapes (l’emmerdant Contronatura et le lent La Planète des Hommes Perdus), Antonio Margheriti eut également le mérite de faire du bourreau, d’ordinaire une banale guirlande accrochée au fin fond des fresques inquisitrices, la star d’une bisserie pur jus. La Vierge de Nuremberg (1963), malgré son âge avancé, ne manque donc jamais de sadisme, d’action, d’aventure et d’ombres menaçantes. Bienvenue à la maison.
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