
Et hop, nouvelle sortie de terre pour Fulci, légende du bis transalpin qui n’en finit plus de ressusciter de sorties en sorties, la haute-définition lui servant de bonne excuse pour jouer les phénix et faire son nid dans nos petits cinémas privés. Devenu un auteur dont la présence fantomatique nous semble constamment collée aux basques, apparaissant et disparaissant de nos étagères après nous avoir retourné le bide ou nous avoir aéré le cervelet, le grand Lucio nous rappelle qu’il avait déjà appris par coeur son tour de spectre immortel avec Frayeurs (1980).
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