
La dernière fois que l’on avait pris le poux de la franchise Douce Nuit, Sanglante Nuit, elle pulsait aux rythme macabre que lui imposait Brian Yuzna, qui après trois chapitres ne formant qu’un seul et même gros slasher enneigé s’en remettait à des histoires de sectes sataniques, d’insectes putrides et de sexe déviant. Noël en plein, donc. Moins branché crasse et plus orthodoxe en apparence, Les Jouets de la Mort (1991) ne s’en ménage pas moins quelques scènes gentiment désaxées, faisant en cela honneur à ces Silent Night, Deadly Night tous marquants d’une manière ou d’une autre.
Read More
Commentaires récents