
Faut savoir rester à la page, et à défaut de garder les yeux ouverts, le fantastique savait ne pas fermer ses oreilles aux sons nouveaux. Ainsi, dans les 70’s, inspiré par le succès grandissant de la soul et des musiques funky, l’épouvante se tannait légèrement et entrait dans l’ère de la blaxploitation. Plutôt avec bonheur : les deux Blacula étaient bien agréables, et Dr Black, Mr Hyde même mieux que ça. Il fallait bien que ça cesse un jour. Enter Blackenstein (ou Black Frankenstein, 1973), parfois considéré comme la pire chose un jour égouttée du roman de Mary Shelley. Ce n’est pas totalement volé, sans être parfaitement véridique.
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