
Satan peut bien se la couler douce et se laisser masser les doigts de pied par les âmes en peine qui jonchent son petit enfer personnel : vu le nombre de vils dévots peuplant le cinoche d’exploitation et trimant pour lui sans même qu’il le leur demande, Monsieur n’a pour ainsi dire même pas à lever la fourche. Il devrait pourtant mettre en place un petit contrôle qualité, car The Witchmaker (1969), malgré un décorum séduisant et de jolies prémices, ne peut s’empêcher de se prendre les pieds dans le tapis et se péter une corne au sol.
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