
La rosée du matin et la barcarolle des hirondelles, très peu pour ce grand pourvoyeur en bidoches qu’est Bruno Mattei, nettement plus porté sur le doux fumet du napalm et l’assourdissante cantate d’un troupeau de sulfateuses. Guère étonnant dès lors de le retrouver en train de fouiller dans les papiers de John McTiernan pour en ressortir le script de Predator, qu’il compte bien détrousser pour les besoins de son Robowar (1988). Get to the choppa !
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