
Si les années 60 étaient celles des aristocratiques pipistrelles anglaises et des ectoplasmes aussi romantiques que malheureux de la Botte, et que les eighties allaient devenir le champ de courses où sprinte dégénérés masqués et tas de latex fraîchement dégringolé de leur astéroïde, les années 70, plus terre-à-terre mais peut-être encore moins sages, tendaient le micro aux équarisseurs en série, aux rednecks dont la salopette se tachait du sang de ces malheureuses auto-stoppeuses et aux anthropophages de tous poils. Ils sont d’ailleurs tous raboutés dans le présent Warlock Moon (1973), sans serpe de lune ni sorcier lugubre malgré l’indication du titre, mais avec son poids en maniaques et sournois.
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