
Si vous vous écorchez les pieds dans ma crypte depuis ne serait-ce qu’une paire d’années, vous y avez traîné suffisamment longtemps pour savoir que j’ai mes chouchous, quelques demi-dieux qui m’ont si rarement fait faux bond que je les prie chaque matin, la tête tournée vers les cabinets. Don Dohler, Brett Piper en sont. Et Jeff Leroy aussi. La déception ne sera pas encore pour cette fois, puisque le Charlie’s Death Wish (2005) du dernier cité met en italique un fait dont ne nous doutions plus. A savoir que le gazier a beau ne pas avoir un sou, il n’en propose pas moins un spectacle maximum.
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