
Santo a tout vécu, tout vu, et surtout tout dégommé. Chicane avec Blue Demon dans les ruines de l’Atlantide, correction de quelques femmes vampires, rififi avec des Martiens que l’on renvoie chez eux en deux coups de manchette, débats agités (comprendre : on se défonce la gueule gaiement) avec une sorcière et ses sbires démons… Fallait bien que l’homme masqué finisse par aller voir s’il n’y a aucune baffe à distribuer dans les musées de cire, et bonheur !, Santo en el museo de cera (1963) lui sert sur un plateau doré une petite clique de monstres de paraffine qu’il serait bon de faire passer par-dessus la troisième corde.
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