
Jim Wynorski n’est pas le nouveau Lafontaine, mais tout de même : pour préserver sa taille de guêpe, l’héroïne de The Wasp Woman (ou Beauté Interdite, 1995) en devient une, et se fait même reine des abeilles en s’accouplant avec tous les gentilshommes de sa société, tous castrés ou dévorés comme le veut la coutume, quitte à y laisser d’elle-même dans le processus. La morale selon l’auteur de Chopping Mall ? Sans doute « c’est sur les vieux matelas qu’on fait les meilleures galipettes », puisqu’il remake ici une Série B culte des 50’s.
Read More
Commentaires récents