
Jésus reviens, Jésus reviens, Jésus reviens parmi les tiens ! Dont acte, le père Franco retrouvant le chemin de nos écrans plats via Lust for Frankenstein (1998), l’un de ces quelques 206 films pétris par l’Espagnol. Et pour tout dire l’un des plus obscurs du lot, sorti dans la longue dernière ligne droite de l’auteur, la plus anti-commerciale, la plus expérimentale. Le mythe de Frankenstein se voit donc offrir une sacrée baguenaude, et la créature, pulpeuse, se laisse couler dans l’habituelle luxure de l’artiste.
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