
Avec toute la politesse, tout le respect et tout le calme dont il fait preuve en public, le Japonais a bien le droit de se laisser aller, dans l’intimité de son deux pièces, à quelques déviantes obsessions. Comme les poitrines de la taille d’une montgolfière, les pieuvres violeuses et on en passe des pires. Puisque leur terre peut à la fois être celle de la réserve et celle des petites culottes d’étudiantes mises à la vente, on ne tombe pas du tatami en découvrant sur leurs étals une oeuvrette comme Big Tits Zombie (Kyonyû doragon: Onsen zonbi vs sutorippâ 5, 2010), adaptée d’un manga dont vous ne retrouverez sûrement pas les chapitres dans Le Petit Spirou.
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