
Ne bouffer que des concombres et des radis, ça inspire. Ainsi, à peine devenu végétarien, Dario Argento senti s’écouler en lui le besoin de retrouver « la pureté de la nature », comme il le dit lui-même, repoussant alcool et tabac pour mieux se concentrer sur Phenomena. Un opus daté 1985 qu’il présente comme « un hybride, moitié horreur et moitié giallo ». Et pour certains le début de la fin concernant le réalisateur de Suspiria. Alors Phenomena, le dernier bon film du maestro ou son premier mauvais ?
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