
Un Amando de Ossorio abandonnant ses chevauchées de morts-vivants pour se faire le chorégraphe des endiablées danses nocturnes d’une tribu vaudou, ça vous chante ? Ca me chantait aussi avant que je ne découvre que le père des blind dead s’est trébuché puis vautré dans une pâle Série B avec The Night of the Sorcerers (1974), pantouflarde tentative d’ensanglanter la savane.
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