
Si l’affiche de Blood and Lace exagère volontiers l’aspect belliciste de ce brûlot des 70’s, elle ne manque pas de souligner que ce pur produit de son époque n’a rien d’un après-midi trampoline, les seuls rebonds qu’on y trouve étant ceux d’un marteau sur les crânes d’un couple assoupi. Merci du réveil. Et de rien pour la grande orpheline de dix huit bougies que le carnage laisse derrière lui, la malheureuse se retrouvant vouée à voir ses belles années filer dans une pension pour adolescents tenue par une directrice meurtrière. Décidément, quand ça veut pas, ça veut pas.
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