
Erich Von Stroheim aurait encore pu distribuer des cookies à tous les orphelins du globe et trouver le remède contre la chaude pisse avant tout le monde qu’aux yeux du fantasticophile il ne serait jamais parvenu à décoller son étiquette de sale type de la Série B à suspense. L’Autrichien à la sévérité toute germanique frappe encore de sa mauvaise humeur dans Le Masque de Dijon (1946), disponible dans le coffret jadis sorti par le grizzly Artus Films dans un coffret contenant aussi The Crime of Dr. Crespi, où le peu aimable bonhomme enterrait vivant le fiancée d’une demoiselle convoitée. Amoureux déçu il reste ici, et des sombres tactiques il continue d’employer dans ce petit film du bon Lew Landers (Le Corbeau avec Lugosi et Karloff, The Return of the Vampire toujours avec Bela).
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